Les protéines végétales nutritives fournissent les matériaux qui servent pour la formation et réparation des tissus de l’organisme. Fondamentaux, ils améliorent la croissance, le développement et la conservation de la vie. Ils sont l’aliment basique des cellules et ils fournissent les matériaux qui constituent les muscles, les os, glandes, les organes internes, système nerveux, purge les autres liquides du corps, comme la peau, les cheveux et les ongles.
La qualité et la quantité d’aminoacides de l’amarante et la quinua les transforment en un excellent aliment.
Le DR. Hugo Golberg le Vice-président de l’Association Argentine de phyto-médecine. Donne son avis concernant les protéines d’origine végétale :
« Les gens pensent que seulement la viande contient de la protéine mais ceci est faut. Quelques céréales, surtout en combinaison avec d’autres végétaux, sont d’excellentes sources protéiques. En général, les protéines végétales sont plus variées, complètes, faciles à digérer et économiques « .
Le soja est la céréale la plus connu , il est produit au niveau mondial. Par rapport à la viande rouge, il présente l’avantage de diminuer le cholestérol en sang (cholestérolémie). Mais ils existent d’autres végétaux, comme l’amarante et la quinua, deux plantes originaires de l’Amérique, dont la qualité et la quantité en aminoacides les convertit en un excellent aliment. Les connaître et apprendre à les incorporer pourrait nous offrir beaucoup d’avantages.
Connaissiez-vous que ?
La quinua ou le quinoa, connu comme « la céréale mère » dans la langue quechua, a été l’aliment de base des Incas pendant des siècles, elle contient tous les aminoacides essentiels.
C’est un grain doux, très digeste cuit et appréciable par sa saveur. Elle, est très facile à utiliser et elle est commercialisé sous plusieurs manières : grain, farine, pâte, pains gâteaux et boissons. Et comme il ne possède pas de gluten. Elle est spécialement indiquée pour les personnes coeliaques (allergiques au gluten).
L’amarante est cultivée au Mexique, Amérique Central et la région andine d’Amérique du Sud. Il est connu avec différents noms comme icapachi, sangorache et ilmi. Les feuilles sont utilisées comme légumes et ses semences en qualité de céréales. De nos jours, dans les restaurants végétariens on le sert comme une grande nouveauté.
Les deux plantes, comme d’autres ressources de l’univers végétal, sont à notre disposition et reste qu’apprendre à les utiliser correctement.
L’organisme il consomme des protéines mais il ne les stocke pas. C’est pourquoi, il est nécessaire de les incorporer dans le régime de tous les jours.
Les aminoacides
Le corps peut obtenir des aminoacides d’une manière limitée. Il ne peut pas fabriquer huit de ces aminoacides qui font partie des protéines qu’il consomme et, par conséquent, il doit directement les prendre des aliments. Ces aminoacides sont appelés essentiels et ils sont huit : isoleucine, leucine, lysine, méthionine, phénylalanine, thréonine, tryptophane et valine.
La bonne qualité nutritionnelle du repas est obtenue quand ils seront combinés dans une même ingestion de protéines qui compensent leurs insuffisances en aminoacides essentiels, par exemple, un aliment déficient en lysine, mais avec un excès de méthionine, ou vice versa.
Du point de vue nutritionnelle, le quinoa a des protéines supérieurs à la caséine du lait (il contient une plus grande quantité de fer et calcium). Et contient un plus petit pourcentage de protéine que le soja (33%), possède 16 aminoacides. l’un de d’eux, est la lysine : a 1.4 fois plus que le soja, 5 fois plus que le maïs, 20 que le blé et 14 que le lait.
Aliments sélectionnés
Quant à l’amarante, son contenu protéique est supérieur à celui de céréales comme le blé, avoine et même la quinua, non en contenu total mais en qualité. Le grain d’amarante a un profil supérieur d’aminoacides que l’organisme ne peut pas synthétiser comme la lysine et la méthionine
La lysine a des fonctions clefs dans le développement des cellules du cerveau humain et dans la croissance.
L’importance de la lysine est due au fait qu’elle a des fonctions clefs dans le développement des cellules du cerveau humain et dans la croissance. De ce fait, on lui associe le développement de l’intelligence, la mémoire et l’apprentissage.
Un faible régime en cet aminoacide ne permet pas une croissance normale de l’organisme des enfants. Dans le cas de la méthionine, elle est plus consommé et est importante comme source principale de soufre nécessaire pour le métabolisme de l’insuline.
Cultivé pendant les temps par les incas au Pérou et des Aztèques en Mexique, aujourd’hui l’amarante est cultivée en Bolivie, Équateur et l’Argentine. Le grain possède entre 12% et 16% de protéines et on le consomme complet, broyé ou raffiné, ce qui permet d’obtenir une farine très agréable ; tandis que les feuilles et les fleurs sont préparées comme légumes.
La soya
Le soja ou soya est un aliment originaire de la Chine, du Japon et la Corée. Et au début du XXe siècle l’ occident il a découvert qu’il pouvait être utilisé pour l’élaboration de fromages, et la farine a largement commencé à être utilisée en Europe et les Etats-Unis, comme une source économique de protéines. Pendant les deux guerres mondiales, on a recouru à cette céréale pour compenser la pénurie de viandes.
La protéine de soja contient les huit aminoacides essentiels et elle est très digeste.
Les terres cultivées avec du soya produisent dix fois plus la quantité de protéine par hectare que le lait, et jusqu’à presque trente fois plus pour l’élevage de bétail.
Le soja contient une protéine de meilleure qualité que celle d’origine animale ; et les deux produits de base qui sont obtenus sont la farine et l’huile. La protéine de soja contient les huit aminoacides essentielles, nécessaires pour la croissance humaine – excepté pendant l’enfance – et elle est très digeste.