Il est curieux d’observer comme à chaque fois qu’il y a plus de personnes qui surveillent les ingrédients des produits. Quelques personnes surveillent pour savoir le contenu nutritionnel, calories, origine, caducité, mais que le motif principal est qu’à chaque fois il y a plus de personnes allergiques a certains aliments ou additifs alimentaires.
Un problème grave avec lequel sont confrontés ces personnes est que « déchiffrer » les l’étiquetage des aliments est une mission très complexe dans beaucoup de cas.
• D’abord personne nous n’explique l’ ordre dans lequel apparaissent les ingrédients, nous n’indique la proportion des aliments contenus, du plus grand au plus petit. Si nous savons ceci nous pouvons savoir pourquoi, par exemple, deux marmelades de framboise peuvent avoir des prix tellement différents. Dans une boîte nous voyons que la framboise est l’ingrédient le plus abondant et dans l’autre boite il apparaît que la framboise se situe en deuxième plan après le sucre (cette boîte devrait être donc plus bon marché puisqu’il contienne surtout du sucre qui est énormément bon marché que la framboise). Le prix est très intéressant quand nous voudrions éviter un ingrédient ou le prendre en quantité minimale. Dans le cas des personnes allergiques à un certain ingrédient (par exemple le lait de vache) si on n’indique pas correctement qu’il contienne du lait de vache cela peut littéralement lui coûter la vie. Pour d’autres personnes, il peut provoquer une éruption cutanée, une céphalée, une diarrhée ou tout autre symptôme. Nous parlons réellement de quelque chose très sérieuse.
• Un autre sujet est la nomenclature. Celle-ci est très importante avec les additifs. Elle dépend des pays, on met la lettre E et le numéro d’additif ou le nom de ce dernier (par exemple E-202 ou Sorbate potassique). Parfois nous parlons du Glutamate Monosodique et d’autres, par contre, parlent de protéines. Bien qu’il ne soit pas toujours facile, pour des motifs d’espace, les additifs devraient toujours citées par leur nom puisqu’il n’y a aucun consommateur capable de se rappeler des noms appartenant à chaque nombre (ils sont des centaines), tandis qu’il est plus facile de citer l’additif.
• Mention spéciale méritaient les produits importés puisque tu vois parfois que dans la traduction « ils ont oubliés » de citer des ingrédients (les additifs) et mettent simplement « arômes ». Par chance les lois alimentaires sont à chaque fois plus strictes dans ces cas.
• Devraient apparaître tous les ingrédients. Ceci qui paraît évident ne l’est pas puisque selon la loi de chaque pays on permet de ne pas citer certains ingrédients s’ils ne dépassent pas un pourcentage du poids du produit final. Le problème, comme nous l’avons dit avant, est qu’il y a des personnes tellement sensibles avec une quantité dérisoire de certain ingrédient qu’il se rende gravement malade et rapidement. Par exemple, certains marqueteries portent dans leur composition un certain céréale et cela peut être grave pour une personne coeliaque.
Comme nous voyons, un étiquetage correct des ingrédients des produits, en indiquant tous les ingrédients, avec un langage simple et en citant, au moins, la quantité de l’ingrédient est très importante.